![Schwarm](../wp-content/uploads/2013/11/Schwarm1.png)
L’historien Fabien Théofilakis résume le contexte historique particulier de l’après-guerre.
![Portrait_Theofilakis](../wp-content/uploads/2013/11/Portrait_Theofilakis.png)
Dr. Fabien Théofilakis
Historien // Historiker
« Cette captivité de guerre va certes avoir un impact important [sur les relations franco-allemandes] mais il ne faut pas la voir nécessairement comme un long fleuve tranquille qui amène directement à l’amitié franco-allemande. »
![Portrait_Brandhorst](../wp-content/uploads/2013/11/Portrait_Brandhorst.png)
Heinrich Brandhorst
« Imagine que la guerre éclate et que personne n’y aille ! » Clementine Brandhorst, veuve d’Heinrich Brandhorst, été 2013 (d’après Bertolt Brecht)
![Portrait_Heyduck](../wp-content/uploads/2013/11/Portrait_Heyduck.png)
Christof Heyduck
« C’est là-bas [dans le camp de Novel] que j’ai débuté le dessin et la
peinture ; puis le théâtre, comme comédien et comme décorateur. J’ai
appris tout cela là-bas. Je ne pense pas que cela aurait pu m’arriver au
beau milieu du désordre de l’Allemagne d’après-guerre. »
![Portrait_Arnold](../wp-content/uploads/2013/11/Portrait_Arnold.png)
Joachim Arnold
« Nous voyions la captivité comme un temps perdu. Nos camarades en Allemagne commençaient leurs études et nous étions toujours retenus prisonniers. Cela a été une époque très rude. »